Toutes nos propositions sont rédigées « sur mesure ». Nous vous proposons quelques exemples d’actions que nous réalisons.
N’hésitez pas à nous faire parvenir votre cahier des charges ou à télécharger nos fiches pédagogiques pour en savoir plus.
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Peut-on aborder la bientraitance en santé mentale comme on l’aborde dans d’autres secteurs d’activités sanitaires et médicosociales ?
Les professionnels des secteurs sanitaire, social et médicosocial sont confrontés à un ensemble d’évolutions sociales, socioéconomiques, techniques et institutionnelles et à des situations jusqu’alors inédites qui créent complexité et turbulences.
De tout temps, la problématique de la violence s’est inscrite en toile de fond des soins en psychiatrie.
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« La violence dans les établissements sanitaires etlieux de vie n’est plus un épiphénomène, tant cette problématique a intégré toutes sortes d’établissements et impacté les conditions de travail
de toutes les catégories professionnelles ».
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Quels que soient les lieux dans lesquels on reçoit du public, l’accueil, vecteur d’image et de confiance, est une activité importante.
Les missions d’accueil au sein des établissements sanitaires sont partagées entre de multiples professionnels qui vont se succéder au cours de la trajectoire des personnes accueillies.
La direction générale de la santé invite les établissements de santé mentale à renforcer les connaissances et à consolider les compétences des professionnels infirmiers qui abordent ou vont aborder le champ de la psychiatrie.
Depuis le début des années 1990, la sédation de la douleur est devenue une préoccupation permanente, tant des pouvoirs publics que de nombreux professionnels de santé, médicaux et paramédicaux.
La plupart des soignants qui travaillent la nuit en ignorent les effets sur la santé, la vie sociale et familiale. De même, leurs pratiques professionnelles et leur organisation de travail, calquées le plus souvent sur celles de jour, sont susceptibles d’occasionner des perturbations et/ou des discontinuités préjudiciables pour les personnes hospitalisées.
La méconnaissance, ou une (re)connaissance insuffisante, de la physiologie et de l’importance du
sommeil pour la santé d’une part, et des spécificités du travail de nuit d’autre part, entraîne des incompréhensions entre les équipes, et le plus souvent des défaillances d’organisation des soins préjudiciables au bien-être et au respect des personnes hospitalisées.
Les infirmier(e)s qui travaillent en C.M.P., service d’urgence, assurent un grand nombre de consultations programmées ou réalisées en urgence, dont certaines constituent des entretiens de première intention.
La loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées a introduit la dimension de handicap psychique, considéré comme un résultant d’une maladie mentale et entraînant de nombreuses incapacités à la vie relationnelle, sociale et professionnelle .
« On estime que près de 8 % des adolescents entre 12 et 18 ans souffriraient d’une dépression.
En prenant appui sur des moyens médicaux, paramédicaux, éducatifs et pédagogiques adaptés, les S.E.S.S.A.D. apportent conseils et accompagnement aux familles
De tout temps, la violence a été une préoccupation majeure du champ psychiatrique. Comme partout ailleurs, elle peut meurtrir celle ou celui qui la reçoit.
Le stress, phénomène psychologique et physiologique, est moteur d’action et d’adaptation, il est indispensable à la vie.
L’usure professionnelle, cette forme particulière de souffrance au travail se manifeste par une saturation émotionnelle et physique …
Qualité de vie, satisfaction, bonheur au travail…autant de mots nouveaux visant à se centrer non pas sur ce qui va mal, ce qui fait souffrir et génère du mal-être, mais sur ce qui peut au contraire favoriser santé etbien-être professionnels.
Le travail d’équipe en établissements de santé revêt deux aspects : le premier de nature organisationnelle, le second de nature humaine et relationnelle.
Les structures sanitaires et médicosociales sont pour les professionnels et tous les usagers, un bien commun a priori évident. Et pourtant, il est fréquent aujourd’hui que les personnes accueillies, adultes, enfants, adolescents, agressent les professionnels qui les accueillent.
La communication non violente (C.N.V.) est une méthode visant à créer entre les personnes des relations construites sur l’empathie, la coopération et le respect de soi et des autres.
La prévention des risques liés au travail de nuit :
programme à destination des encadrants
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Le leadership désigne la capacité d’une personne à conduire d’autres personnes / une organisation vers l’atteinte d’objectifs et d’un but.
Les évolutions fréquentes et répétées qui pèsent sur les établissements se répercutent sur les rôles et habitudes de travail des salariés et de l’encadrement. L’accumulation de situations nouvelles, vécues comme adversités pour la plupart d’entre eux, engendrent perte des repères traditionnels, insécurité et quelquefois désillusion.
Pourquoi certaines équipes sont-elles capables d’intégrer les évolutions et réussissent-elles ce qu’elles entreprennent alors que d’autres, composées de personnes tout aussi qualifiées et expérimentées, stagnent ou échouent ?
Bien-être, satisfaction, qualité de vie au travail … autant de mots nouveaux visant à se centrer, non sur ce qui fait souffrir et génère du mal-être, mais sur ce qui peut au contraire favoriser santé, implication et bien-être professionnels.
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Conférences, séminaires, réunions de travail, comités, commissions … nos vies tant
personnelles que professionnelles sont placées sous le signe des réunions pour
alternativement y participer, les organiser, les conduire ou les diriger.
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Différences d’âge certes, mais également différences dans le rapport au travail, les attentes, manière d’apprendre, de réfléchir ou de communiquer …
Pendant longtemps, nous avons cru qu’il était possible de laisser les émotions « au vestiaire ».
Enracinée dans la culture occidentale, cette croyance traduisait une perception opposée de la raison et des émotions.