Toutes nos propositions sont rédigées « sur mesure ». Nous vous proposons quelques exemples d’actions que nous réalisons.
N’hésitez pas à nous faire parvenir votre cahier des charges ou à télécharger nos fiches pédagogiques pour en savoir plus.
La lutte contre la maltraitance et la promotion de la bientraitance sont au coeur des préoccupations des professionnels de santé depuis maintenant de nombreuses années.
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Les professionnels des secteurs sanitaire, social et médicosocial sont confrontés à un
ensemble d’évolutions sociales, socioéconomiques, techniques et institutionnelles et à des situations jusqu’alors inédites qui créent complexité et turbulences.
Quels que soient les lieux dans lesquels on reçoit du public, l’accueil, vecteur d’image et de confiance, est une activité importante.
Trouver la juste distance professionnelle ne va pas de soi, singulièrement dans les services de soins, où la confrontation pluriquotidienne à l’intimité et aux états émotionnels des personnes hospitalisées et de leurs proches, génèrent le plus souvent des affects particuliers qui sollicitent maîtrise de soi et bienveillance des professionnels.
Communication et relation sont au coeur du soin. Les soins donnés s’adressent à des personnes de milieux sociaux et de cultures divers et variés
Le 20ème siècle a été marqué par des résultats spectaculaires en matière de traitement des maladies aigues et infectieuses.
Pendant longtemps, le cancer a incarné le mal absolu. Si les choses ont changé, il n’en
demeure pas moins que toute pathologie cancéreuse est lourde de conséquences pour celui ou celle qui en est porteur et pour ses proches.
On constate aujourd’hui un sentiment d’injustice, sinon de peur et de désarroi de la part des personnels soignants face à l’agressivité, à la violence manifestée par certaines personnes hospitalisées.
La violence dans les établissements sanitaires a toujours été présente, mais elle a été longtemps cantonnée à certains services et se manifestait plutôt rarement de façon paroxystique.
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« La violence dans les établissements sanitaires et lieux de vie n’est plus un épiphénomène, tant cette problématique a intégré toutes sortes d’établissements et impacté les conditions de travail
de toutes les catégories professionnelles ».
Le recours à la contention passive est fréquent dans certains services hospitaliers, et particulièrement auprès de certains publics (personnes âgées, malades agités…).
« La douleur est une expérience existentielle, individuelle, intime et donc subjective. Chacun interprète la sensation douloureuse selon sa sensibilité, faite de toutes ses expériences passées. En gériatrie, les conséquences de la négligence de la douleur peuvent être dramatiques »
Les services de chirurgie accueillent de nombreuses personnes âgées et l’âge moyen de ces personnes s’accroît chaque année. Beaucoup d’entre elles se sont fracturé le col du fémur, et près de la moitié présentent des états démentiels ou d’agitation.
Les professionnels des services de médecine sont en prise directe avec toutes les difficultés majeures liées au vieillissement, qu’il soit normal ou pathologique.
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La dépression de la personne âgée constitue un problème majeur de santé publique qui croît parallèlement au vieillissement démographique.
« On estime que près de 8 % des adolescents entre 12 et 18 ans souffriraient d’une dépression.
Or, à cet âge la dépression passe souvent inaperçue. L’adolescent a des difficultés à exprimer ses ressentis, manifeste sa souffrance différemment des adultes et sa dépression peut être confondue avec les sentiments de déprime, courants à l’adolescence. »
Un nombre significatif d’enfants / d’adolescents souffrent de troubles émotionnels et comportementaux qui interfèrent avec leur développement, freinent leurs apprentissages, compromettent leur devenir par une répercussion sur leur qualité de vie et celle de leurs familles.
Les structures d’accueil d’enfants, d’adolescents en difficulté sont par essence à risque de confrontation à des manifestations agressives et violentes.
Malgré l’empathie et la bienveillance des professionnels, l’accompagnement de ces jeunes patients et de leurs parents en train de vivre un drame intime ne va de soi.
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Dans les services d’urgence, la fin de vie et la mort revêtent un caractère particulièrement
intense.
Si le travail de nuit dans les établissements de santé s’inscrit en continuité avec celui de jour, il n’en est pas moins particulier et spécifique.
La méconnaissance, ou une (re)connaissance insuffisante, de la physiologie et de l’importance du sommeil pour la santé d’une part, etdes spécificités du travail de nuit d’autre part, entraîne des incompréhensions entre les équipes, et le plus souvent des défaillances d’organisation des soins préjudiciables au bien-être et au respect des personnes hospitalisées.
De tout temps, la violence a été une préoccupation majeure du champ psychiatrique. Comme partout ailleurs, elle peut meurtrir celle ou celui qui la reçoit.
L’usure professionnelle, cette forme particulière de souffrance au travail se manifeste par une saturation émotionnelle et physique conduisant à une dépersonnalisation dans la relation de soin …
Le stress, phénomène psychologique et physiologique, est moteur d’action et d’adaptation, il est indispensable à la vie.
Qualité de vie, satisfaction, bonheur au travail… autant de mots nouveaux visant à se centrer non pas sur ce qui va mal, ce qui fait souffrir et génère du mal-être, mais sur ce qui peut au contraire favoriser santé et bien-être professionnels.
Les structures sanitaires et médicosociales sont pour les professionnels et tous les usagers, un bien commun a priori évident. Et pourtant, il est fréquent aujourd’hui que les personnes accueillies, adultes, enfants, adolescents, agressent les professionnels qui les accueillent.
La communication non violente (C.N.V.) est une méthode visant à créer entre les personnes des relations construites sur l’empathie, la coopération et le respect de soi et des autres.
« La violence dans les établissements sanitaires et lieux de vie n’est plus un épiphénomène, tant cette problématique a intégré toutes sortes d’établissements et impacté les conditions de travail de toutes les catégories professionnelles ».
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La prévention des risques liés au travail de nuit :
programme à destination des encadrants
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Le leadership désigne la capacité d’une personne à conduire d’autres personnes / une organisation vers l’atteinte d’objectifs et d’un but.
Les évolutions fréquentes et répétées qui pèsent sur les établissements se répercutent sur les rôles et habitudes de travail des salariés et de l’encadrement. L’accumulation de situations nouvelles, vécues comme adversités pour la plupart d’entre eux, engendrent perte des repères traditionnels, insécurité et quelquefois désillusion.
Pourquoi certaines équipes sont-elles capables d’intégrer les évolutions et réussissent-elles ce qu’elles entreprennent alors que d’autres, composées de personnes tout aussi qualifiées et expérimentées, stagnent ou échouent ?
Pendant longtemps, nous avons cru qu’il était possible de laisser les émotions « au vestiaire ».
Enracinée dans la culture occidentale, cette croyance traduisait une perception opposée de la raison et des émotions.
Bien-être, satisfaction, qualité de vie au travail … autant de mots nouveaux visant à se centrer, non sur ce qui fait souffrir et génère du mal-être, mais sur ce qui peut au contraire favoriser santé, implication et bien-être professionnels.
En 2010, dix ans après la réforme législative sur le travail de nuit, les pouvoirs publics ont
commandé au C.E.S.E., un rapport sur les évolutions intervenues au cours de la décennie.
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Différences d’âge certes, mais également différences dans le rapport au travail, les attentes, manière d’apprendre, de réfléchir ou de communiquer …
Conférences, séminaires, réunions de travail, comités, commissions … nos vies tant personnelles que professionnelles sont placées sous le signe des réunions pour alternativement y participer, les organiser, les conduire ou les diriger.
Le travail d’équipe en établissements de santé ou en S.S.A.D. revêt deux aspects : le premier de nature organisationnelle, le second de nature humaine et relationnelle.